Découvrez les meilleures itinéraires pour voyager de paris à Bangkok !

Paris à Bangkok : quelles sont les possibilités ?

Quand on envisage un voyage de Paris à Bangkok, plusieurs options s’offrent à nous.

Choisir une compagnie aérienne pour un vol Paris-Bangkok


Pour un voyage de Paris à Bangkok, opter pour une compagnie aérienne est la meilleure option. Les aéroports parisiens sont bien connectés, facilitant ainsi la recherche d’un vol direct vers Bangkok. Plusieurs compagnies offrent des liaisons pour cette destination.

Qatar Airways

Cette compagnie renommée propose des vols de Paris à Bangkok via l’aéroport Charles de Gaulle CDG, avec une escale à Ho Chi Minh City SGN avant de poursuivre vers l’aéroport de Don Muang International DMK à Bangkok.

Thai Airways International

Thai Airways assure une liaison directe de Paris à Bangkok, en partant de l’aéroport Charles de Gaulle CDG et atterrissant à l’aéroport de Bangkok Suvarnabhumi.

Air France

Air France offre également un vol direct de Paris à Bangkok, décollant de l’aéroport Charles de Gaulle et se dirigeant vers l’aéroport de Bangkok Suvarnabhumi.

Air Berlin

Air Berlin propose des vols depuis l’aéroport d’Orly Ory, avec une première escale à l’aéroport de Tegel à Berlin, puis un vol final vers l’aéroport de Bangkok Suvarnabhumi.

Austrian Airlines

Austrian Airlines assure des vols de Paris à Bangkok en partant de l’aéroport Charles de Gaulle, avec une escale à l’aéroport de Vienna-Schwechat International VIE à Vienne, avant de se rendre à l’aéroport de Bangkok Suvarnabhumi.

Lufthansa

Lufthansa propose également des liaisons aériennes de Paris à Bangkok, en partant de l’aéroport Charles de Gaulle et faisant escale à l’aéroport international de Francfort FRA, avant de continuer vers l’aéroport de Bangkok Suvarnabhumi.

Outre ces grandes compagnies, d’autres comme Swiss, Singapore Airlines, Etihad Airways, KLM, etc., assurent également des vols vers Bangkok depuis Paris, offrant généralement des options en classe économique, premium, affaires et première classe.

Quel est le prix moyen d’un vol Paris-Bangkok ?

Le voyage le plus rapide entre Paris et Bangkok se fait par avion. Les voyageurs doivent prévoir un budget pour leur billet, car les compagnies aériennes offrent des prix variables. Ces tarifs dépendent de la classe de vol, des services inclus et des escales éventuelles. Les prix des billets fluctuent régulièrement, mais il est courant de dépenser environ 600 euros, sous réserve de disponibilité.

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Choisir une compagnie aérienne pour économiser sur un vol Paris-Bangkok

Plusieurs compagnies aériennes offrent des vols entre Paris et Bangkok, chacune avec ses propres avantages, notamment en termes de coût. Les compagnies présentant les tarifs les plus attractifs incluent :

  • Swiss,
  • Thai Airways,
  • Lufthansa,
  • Finnair,
  • Air France,
  • KLM,
  • Singapour Airline.

Récemment, Swiss a offert les tarifs les plus compétitifs pour le trajet Paris-Bangkok, suivie de Thai Airways, Lufthansa, Finnair et Air France.

Quelle est la durée moyenne d’un vol entre Paris et Bangkok ?

De nombreuses compagnies aériennes assurent la liaison Paris-Bangkok. Certaines proposent des vols directs, tandis que d’autres incluent un escale avant l’arrivée à Bangkok. Le trajet direct entre Paris Orly et l’aéroport Suvarnabhumi couvre une distance de 9 468,00 km. En moyenne, ce vol direct dure environ 14 heures. Chaque jour, 149 vols sont opérés entre ces deux villes, soit un total de 1 044 vols par semaine.

Vol Paris – Bangkok : Choix des aéroports de départ et d’arrivée

Pour les vols directs entre Paris et Bangkok, seuls les aéroports Charles de Gaulle (CDG) et Orly sont utilisés. Ainsi, en quittant Paris, ces aéroports offrent le trajet le plus rapide vers la capitale thaïlandaise. À Bangkok, deux aéroports sont en service : Bangkok-Suvarnabhumi (BKK) et Bangkok-Don Muang (DMK).

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L’aéroport Bangkok-Suvarnabhumi (BKK), doté de 7 niveaux, est le plus fréquenté par les voyageurs occidentaux, desservi par les vols en provenance de Paris au deuxième étage. En revanche, l’aéroport Bangkok-Don Muang (DMK), le plus ancien d’Asie, est principalement utilisé pour les vols domestiques. Il convient de noter qu’il y a un décalage horaire de 5 heures entre les deux villes, ce qui influence souvent le choix de l’aéroport d’arrivée, généralement Bangkok-Suvarnabhumi (BKK) pour sa proximité.

Quel est le meilleur mois pour visiter Bangkok ?

Bangkok, située au cœur de la Thaïlande sur les rives du fleuve Chao Phraya, connaît un climat tropical de mousson.
Cette région est caractérisée par une saison des pluies intense et abondante, qui s’étend de mai à octobre, avec un accroissement des orages pendant cette période.
Parallèlement, la ville subit également des pics de chaleur importants.
Ainsi, la meilleure période pour se rendre à Bangkok s’étend de mi-novembre à la fin de mars, avec un optimum de janvier à février lorsque les températures varient entre 26 °C et 33 °C, offrant un climat très agréable.

Quand acheter son billet d’avion pour payer moins cher ?

Pour obtenir un billet d’avion Paris-Bangkok à moindre coût, il est recommandé de réserver entre 1 et 2 mois avant le départ. Les réservations effectuées entre 11 et 12 mois à l’avance peuvent entraîner des tarifs élevés. Les prix des billets peuvent également fluctuer selon la période de voyage.

Historiquement, le mois de février est le plus avantageux. Les mois de janvier et décembre offrent également des possibilités d’économies. Le jeudi est généralement le jour de la semaine où les tarifs sont plus bas. Les compagnies aériennes mettent à disposition des sites web pour les réservations, mais il est essentiel de vérifier leur politique de confidentialité pour garantir la sécurité de vos informations personnelles.

Autres alternatives pour voyager de Paris à Bangkok et faire des économies

Le voyage par avion n’est pas la seule option pour se rendre de Paris à Bangkok. Vous pouvez choisir de voyager en train, bien que cela nécessitera des correspondances. Les compagnies ferroviaires peuvent vous emmener à Berlin, Moscou, Amsterdam, London St Pancras, entre autres. À partir de ces villes, vous pouvez prendre un vol vers Bangkok, ce qui permet de réduire les coûts. Cependant, cette méthode augmente la durée du voyage.
Il est également envisageable de voyager en bus depuis Paris pour atteindre Bangkok. Comme pour le train, ce voyage nécessitera des escales. Un bus vous emmènera de Paris à la gare routière d’Amsterdam, d’où vous pourrez prendre un vol vers Bangkok. Cette option permet également de réaliser des économies, bien que le voyage soit plus long. Vous aurez ainsi l’opportunité de découvrir de nombreux paysages et de traverser diverses villes et pays.

FAQ

  • À quelle heure les vols sans escale de Paris à Bangkok décollent-ils ?
    Les départs des vols sans escale de Paris à Bangkok sont flexibles. Vous avez la possibilité de partir le matin, l’après-midi ou le soir, selon la compagnie aérienne choisie.
  • À quelle heure les vols atterrissent-ils à Bangkok ?
    L’heure d’arrivée à Bangkok varie selon l’heure de départ de Paris. Les vols peuvent arriver le jour ou la nuit, avec un décalage horaire de 5 heures à prendre en compte.
  • Est-il possible d’annuler mon vol ?
    Effectivement, l’annulation de votre vol est possible sous certaines conditions. Il est essentiel de vérifier les règles d’annulation propres à chaque compagnie aérienne.

Les premiers cas de coronavirus en Thaïlande et la réaction du gouvernement


Les autorités thaïlandaises ont mis en place des mesures pour lutter contre le virus. La Thaïlande est reconnue pour être l’un des pays les plus préparés face aux catastrophes naturelles. Les premiers cas du virus sont apparus en janvier 2020.
Un ressortissant chinois a été identifié comme porteur du virus lors d’un scan à l’aéroport de Bangkok. En réponse, le gouvernement a ordonné une analyse systématique de tous les voyageurs en provenance de Chine.
Suite à cette identification, des mesures ont été prises, notamment la présentation d’un certificat attestant l’absence de la maladie. Le gouvernement chinois a également soutenu la Thaïlande en interdisant aux agences locales d’organiser des séjours à l’étranger pour les touristes chinois.
Alors que l’épidémie s’étendait, la Thaïlande a renforcé ses contrôles, surtout sur les ressortissants étrangers. Pendant environ 60 jours, les Thaïlandais présentant des symptômes se sont rendus volontairement pour un suivi médical immédiat.
Cette collaboration efficace entre les autorités et la population a permis un contrôle rapide de la crise sanitaire. Même si la crise a culminé vers le 15 mars 2020, la Thaïlande a réussi à minimiser les impacts malgré une population touchée d’environ 1 000 000 d’habitants.

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Une fixation claire des gestes barrières

À la fin du mois de mars, le gouvernement a fixé clairement les mesures sanitaires pour réduire le risque de contamination. Les déplacements inter provinces ont été limités, les lieux de loisir fermés, et la dégustation sur place dans les restaurants interdite. L’île de Pha Ngan a également interdit les manifestations festives. Ces mesures strictes ont été suivies par la population, permettant déjà en début mai 2020 la réouverture de certains lieux commerciaux.

Entre mai et le 1er juillet 2020, tous les centres de loisirs, bars, restaurants et centres touristiques ont pu rouvrir. Cependant, la distanciation sociale est restée en vigueur, avec le port du masque obligatoire et la désinfection au gel imposée. Des contrôles de température ont été mis en place aux entrées des centres commerciaux et des marchés. À Chiang Mai, par exemple, la vie redevenait normale, mais l’absence de touristes a maintenu certains lieux fermés, car ils étaient principalement fréquentés par des touristes.

Une application a été installée dans tous les centres pour faciliter l’enregistrement des utilisateurs. En cas de détection d’un cas de Coronavirus, les utilisateurs pouvaient être contactés facilement.

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Le deuxième semestre de 2020 : une augmentation des cas

Au cours du deuxième semestre, la Thaïlande a enregistré une hausse significative des cas de contamination. Cette situation a débuté avec la détection d’un cas chez une jeune femme à Chiang Mai, originaire de Birmanie, un pays voisin. Son entrée en Thaïlande s’est faite de manière clandestine, contournant ainsi la quarantaine obligatoire pour toute arrivée dans le pays. Cette pratique a contribué à une augmentation des cas de Covid-19. Suite à cet incident, plusieurs individus à risque ont été identifiés et placés en quarantaine pour prévenir une propagation locale. Cette mesure s’est avérée efficace, bien que les personnes ayant frauduleusement pénétré sur le territoire soient passibles d’une amende importante.

À la fin de l’année 2020, un foyer épidémique a été détecté dans le nord du pays, touchant environ cent employés d’un grand marché de produits de la mer. L’isolation de la zone a été immédiate, mais l’épidémie s’est ensuite étendue à près de 57 provinces, dont 28 considérées comme des zones à haut risque.

En février 2021, le gouvernement a réussi à maîtriser la situation grâce à un ensemble de mesures de contrôle et de restrictions sanitaires. Cependant, à partir du 1er avril 2021, une nouvelle vague de l’épidémie a émergé, liée aux bars de nuit, et impliquant le variant anglais, le premier cas de ce type dans le pays.

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La fermeture des lieux de loisir

Le 10 avril, le gouvernement a ordonné la fermeture de tous les lieux de divertissement dans 41 provinces, une mesure qui s’est poursuivie jusqu’au 23 avril. Parallèlement, le port du masque est devenu obligatoire en public sur l’ensemble du territoire. Au début de mai, la situation semblait revenir à la normale, sauf à la capitale où aucun grand changement n’était perceptible, avec de nombreux foyers touchés également dans les provinces voisines. Les sources de l’épidémie ont été identifiées comme étant :

  • des usines
  • des prisons
  • des camps de travailleurs de la construction

Un nouveau variant indien a exacerbé la propagation du virus. À partir de mi-juillet, le nombre de cas a dépassé les 10 000 par jour, contraignant le gouvernement à imposer de nouvelles mesures restrictives, principalement à Bangkok et dans certaines provinces voisines. Un couvre-feu a été instauré entre 21 heures et 4 heures du matin. Malgré ces mesures, la complexité de l’épidémie a persisté, accentuée par la succession des variants qui a continué d’augmenter le nombre de cas jusqu’en décembre, avec des cas graves et des décès.

En réponse, la virulence de la situation a diminué par rapport aux variantes précédentes, notamment avec l’apparition d’Omicron. La vaccination, déjà en place dans plusieurs pays, a été considérée comme la solution pour contenir la propagation du virus.

Les mesures face aux voyages

À l’intérieur du pays, les voyages sont organisés de manière méthodique. Dans les dossiers de voyage des voyageurs, on retrouve souvent le masque chirurgical et le gel désinfectant. Les autorités thaïlandaises recommandent de se laver les mains constamment. Ces nouvelles approches, appelées mesures sanitaires, incluent également la distanciation sociale réglementée dans les transports en commun.

Pour les voyages à l’étranger depuis la Thaïlande, plusieurs vols ont été annulés, réduisant ainsi le nombre de vols internationaux. Les compagnies aériennes concernées ont suivi leurs clients et les ont même dédommagés.

D’autres États exigent la présentation d’un certificat de vaccination. Le programme de tests en vigueur en Thaïlande a été suspendu, permettant ainsi à la vie de reprendre son cours normal.

Pour effectuer un voyage, le vaccin doit être administré environ 14 jours avant le départ. Les ressortissants étrangers doivent demander un visa, contrairement aux ressortissants français et monégasques, qui ne sont pas tenus de le faire si leur séjour ne dépasse pas 30 jours. Cependant, ils doivent fournir une assurance médicale en anglais couvrant les frais médicaux pendant leur séjour, d’un coût d’environ 19 000 euros. La compagnie aérienne choisie guide les voyageurs dans les demandes de visa et tout le processus d’entrée dans le pays.

L’état de la vaccination en Thaïlande

La population thaïlandaise a globalement bien répondu à la campagne de vaccination, à l’exception des mineurs de moins de 18 ans. Au 22 avril 2022, 73 % de la population avait reçu deux doses du vaccin, et 36 % en avaient reçu trois. Ce taux élevé de vaccination a permis de relâcher les mesures barrières, avec de nombreux centres commerciaux et entreprises qui ont rouvert. Depuis l’imposition de la vaccination pour prévenir la transmission du virus, des milliers de vaccins sont administrés chaque jour, avec des chiffres oscillant entre 44501 et 44652 vaccins par jour dans les centres du Royaume.

En général, la Thaïlande est considérée comme l’un des pays ayant le mieux géré la crise sanitaire liée au coronavirus. Elle a également facilité les démarches pour les voyageurs se rendant ou arrivant en Thaïlande.